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PRESENTATION

En 2009, en sortant de l’exposition Alexander Calder, les années parisiennes 1926-1933  au Centre Georges Pompidou, j’avais surtout été frappé par ses portraits au fil de fer, comme tracés directement dans l’air et qui captent si bien les personnalités représentées, souvent ses amis artistes comme Joan Miró, Fernand Léger, Edgar Varèse et même Kiki de Montparnasse. Mais si j’avais du ramener un objet chez moi, cela aurait été un de ces grands mobiles colorés pour lesquels Calder est le plus connu. Evidemment, un authentique mobile signé Calder est un plaisir que peu de personnes peuvent s’offrir, j’ai alors cherché à acheter une copie mais les quelques reproductions disponibles sur le marché ne m’ont pas convaincu. Il restait la solution de me lancer dans la fabrication de mon propre mobile, depuis, je ne me suis pas arrêté.



In 2009, I went to the exhibition Alexander Calder, the Paris years 1926-1933 held in the Centre Georges Pompidou and I discovered several facettes of Calder’s work I did not know, for instance his wire portraits which I found remarkable. With simple wire, he manages to convey the essence of the characters he draws, mostly his artist friends like Joan Miró, Fernand Léger, Edgar Varèse or the famous Kiki de Montparnasse.
If I could have brought an item back home though, it sure would have been one of those fantastic mobiles for which he’s famous. Naturally, an authentic mobile by Calder is worth a fortune, so I considered buying a copy, but the replicas or ‘Calderesc’ mobiles I found were a disappointement : cheap plastic, mass produced stuff : clearly not what I wanted.
I resorted to making my own mobile, 100% metal, using the same techniques Alexander Clader used. I haven’t stopped since then.